Il ne faudra pas hésiter à se débarrasser de ses préjugés sonores afin de se laisser pénétrer par ces onomatopées et d’en accepter les correspondances visuelles proposées.

Découvrir l’article en intégralité

Cela ne doit pas être facile d’apprendre par coeur le texte de Kyotonomatopée (Théâtre du Centre) qui consiste pour 99% d’onomatopées, grognements, hurlements, mais finit par « parole ».

Découvrir l’article

La Compagnie des Lucioles en Avignon

Découvrir l’article en intégralité

Artiste spécialiste du langage, Laurent Colomb est intervenu au Collège de la Fontaine des prés.

Cet atelier a commencé par un déplacement à l’abbaye de Royaumont où cette classe a assisté à la représentation du spectacle Kyotonomatopée. Ensuite, pendant une dizaine d’heures, les élèves ont travaillé sur les onomatopées, les voix et les sonorités des différentes cultures du monde. Avec parfois quelques surprises à la clé. Et à la fin de la théorie place à la pratique avec l’élaboration d’une fresque sur les bruits de la ville qui sera prochainement exposée dans le collège.

Découvrir l’article en intégralité

Kyotonomatopée est une pièce théâtrp-vocale composée en grande partie d’exclamations, interjections et d’onomatopées

L’heure est venue de présenter cette aventure linguistique et littéraire en France.

Une conversation en langue à trous entre un écolier et les oiseau de la forêt qu’il traverse.

La pièce traite des relations qu’un garçonnet dans le corps d’un adulte (Alpha-boy) entretient avec les choses, inquiété par le mouvement qui le porte à les nommer selon le son qui est le leur. Les personnages qui l’entourent (Miss et Otokonohitosan), tour à tour oiseaux, arbres et créatures de la forêt qu’ils traversent, n’ont pas plus de consistance que leur nom, source de nombreux malentendu et cause de sa désespérance.

Découvrir l’article en intégralité